Le Hobbit + nous

mode Balïn
il me semble aussi
et, de toute façon, si vous voulez garder l'autre, vous n'aurez qu'à expliquer vous-même à Thorïn quel nom vous voulez donner à notre compagnie

mode Faeria
......
bon, d'accord, on oublie

Mode Hestia
Okay, on garde la compagnie de Thorin, ça va aussi
C'est toujours mieux que "Thorin et ses potes"...

(même si ça fait un peu nom de groupe XD)

mode Dwalïn
y avait bien que vous deux pour penser à un nom pareil!!

mode Faeria
oh fiche-nous la paix!!!
enfourne une saucisse (sans mauvais jeu de mots s'il vous plait! XD)

mode Bilbo
arrêtez!! c'était les provisions que je gardais pour l'hiver!!!


au fait, je change de nom!
la mort dans l'âme, parce que j'aimais beaucoup Sigrid mais, après avoir lu des interviews, j'ai réalisé qu'ils ont rajouté un personnage féminin dans le film, qu'ils ont baptisé....Sigrid!
donc, je m'appelai finalement Veigi
d'un côté, c'est pas plus mal : comme ça, on a des prénoms qui se ressemblent, ce qui est plus logique vu que c'est la coutume au sein d'une fratrie^^

Oh dommage :/ Mais bon du coup, ça tombe bien ^^

Mode Hestia
Ah ? pardon, alors.
mange une saucisse aussi (rien à faire XD)

mode Fili
passe sur la table avec des chopes
qui veut une bière?

mode Faeria
moi!! moi!!!

Mode Hestia
bièèèèèèèèèèèèèèère !!!!!!

Mode Kili
moi aussi !!!!!

mode Faeria
s'agite tellement qu'elle s'écroule à moitié sur Kili

mode Fili
sert largement Hestia

et voilà la fiche de Solveig (même si elle ne va pas apparaître de si tôt dans le rpg XD)

Nom : Solveig
Race : Humaine
Age : 34 ans
Rôle : princesse de Dale
Métiers : convoyeuse de marchandises, contrebandière
Armes : une épée courte, deux couteaux de chasse, un poignard, un arc et des flèches et 3 javelots
Naissance : 23 février de l’an 2907 du Troisième Âge
Taille : 1m78
Poids : 73 kg
Hobby : s’occuper de ses chiens, faire de la broderie
Ce qu’elle aime : sa famille, les animaux, les nains
Ce qu’elle n’aime pas : le Maître d’Esgaroth, Alfrid, l’injustice
Point fort : la vue
Point faible : la danse
Type d’homme : Beorn
Particularités : elle est ambidextre

Solveig est la petite sœur de Barde et la tante de Baïn, Sigrid et Tilda. Elle est née à Esgaroth, dans la pauvreté, ses parents ne roulant pas sur l’or en dépit de leur ascendance royale. La famille de Solveig descend en effet en droite ligne de Girion, le dernier roi de Dale, et, si la lignée a totalement perdu sa splendeur et son prestige d’antan depuis la destruction de Dale par Smaug, elle a conservé la mémoire de ses ancêtres. Solveig fut donc élevée dans le souvenir de la grandeur et de la richesse de Dale, ainsi que dans celui de l’ancienne amitié existant entre les hommes de Dale et les nains d’Erebor.
Toutefois, si ce souvenir donnait à la petite fille de quoi rêver, il constituait également une source de souffrance. En effet, entendre parler de la gloire et des richesses de ses ancêtres ne faisait ressentir que plus douloureusement la situation de pauvreté que Solveig connaissait. Par ailleurs, elle se sentait toujours profondément humiliée quand elle entendait des moqueries concernant l’ultime tentative de Girion d’abattre le dragon. Elle tenta à plus d’une reprise de défendre la mémoire de son ancêtre en s’exclamant qu’au moins, il avait lutté jusqu’au bout pour protéger son  peuple, et en parlant de cette écaille qu’il aurait réussi à déloger de l’armure du dragon, mais elle se faisait systématique rabrouer et chahuter. Se sentant constamment humiliée, Solveig se forgea petit à petit une volonté de revanche et se prit à rêver au rétablissement de Dale et du Royaume sous la Montagne.
Cependant, la petite fille était loin de pouvoir réaliser son rêve. Elle vécut une enfance difficile à Esgaroth, étant obligée de travailler très jeune avec son frère pour aider ses parents. Elle participait aussi bien aux tâches domestiques féminines qu’à des travaux plus masculins et elle apprit ainsi très tôt à cuisiner, à coudre et à soigner des maladies ou des blessures, ainsi qu’à chasser, piloter un bateau et se défendre. Rapidement envoyée effectuer des tâches dans toute la ville ou aux alentours juste avec son frère, ou parfois seule, elle devint débrouillarde très jeune et sût très tôt ne compter que sur elle-même.
En grandissant, Solveig devint une jeune femme très séduisante. Ses parents décidèrent d’en profiter en essayant de la marier avec un homme fortuné qui pourrait leur permettre de vivre plus confortablement. En dépit de leur pauvreté, ils réussirent à trouver quelqu’un qui acceptait d’épouser leur fille. Toutefois, cette dernière fit échouer le projet, refusant de se marier avec un homme qu’elle n’aimait pas. Quelques mois plus tard, ses parents moururent de maladie, n’ayant pas les moyens d’acheter de quoi se soigner. Profondément bouleversée, Solveig se sentit coupable, réalisant qu’elle aurait pu apporter plus de confort à sa famille et sauver ses parents si elle s’était mariée. Elle se promit alors de se dévouer corps et âme à sa famille et de toujours penser au bien des siens avant d’envisager le sien. Sa volonté ne fit que s’affermir avec le temps, au fil des différents événements qui marquèrent la vie de Barde et Solveig : le mariage de Barde, les naissances successives de Baïn, Sigrid et Tilda, la mort de l’épouse de Barde.
Afin d’aider Barde à subvenir aux besoins de sa famille, Solveig exerça tour à tour différents métiers : batelière, chasseuse, pêcheuse… Elle finit par se fixer sur une seule tâche : celle de mener les convois de marchandises qui partaient d’Esgaroth pour se rendre dans le val d’Anduin, de l’autre côté de la Forêt Noire. Cela faisait longtemps qu’Esgaroth commerçait avec les habitants du val d’Anduin mais, depuis que la Forêt Noire avait commencé de devenir une zone dangereuse infestée d’orques et d’araignées, plus personne n’osait s’y aventurer et effectuer la traversée de la forêt pour rejoindre le val d’Anduin. Solveig décida de prendre la relève et s’aventura donc seule dans la Forêt Noire, menant avec elle quelques mulets portant des marchandises. Elle parvint à se frayer un chemin dans la forêt et à revenir, chargée de marchandises provenant du val d’Anduin. Devenant alors officiellement la convoyeuse de marchandises entre Esgaroth et le val d’Anduin, elle effectua le trajet à maintes reprises pendant plusieurs années, parvenant toujours à esquiver les orques et les araignées, ainsi qu’à retrouver son chemin dans le labyrinthe de la Forêt Noire.
Cette activité très dangereuse aurait normalement dû rapporter beaucoup d’argent à la jeune femme. Hélas, le Maître d’Esgaroth imposa de très lourdes taxes sur le transport de marchandises et Solveig se retrouva contrainte de verser la quasi-totalité des sous qu’elle gagnait au Maître. Elle n’en continua pas moins à poursuivre son activité, mais se mit à pratiquer de la contrebande en parallèle, essayant de rapporter davantage d’argent à sa famille par tous les moyens possibles. Par ailleurs, elle assistait également son frère quand celui-ci tentait de venir en aide à ses concitoyens dans leur misère, défiant ainsi l’autorité du Maître. Solveig devint ainsi, avec son frère, l’une des habitantes d’Esgaroth les plus surveillées par les troupes du Maître, celui-ci se méfiant beaucoup d’elle et de sa famille.
Solveig parvint toujours à échapper à l’attention des soldats et put ainsi mener ses activités de contrebande sans jamais se faire prendre. Parallèlement, elle poursuivait ses transports de marchandises entre Esgaroth et le val d’Anduin. En dépit de la dangerosité du voyage, la jeune femme appréciait beaucoup ces moments. Cela lui permettait en effet de s’éloigner pour un temps de la misère d’Esgaroth, de la surveillance du Maître et de toute la rancœur qu’elle entretenait à l’égard de ceux qui se moquaient de ses ancêtres. Une surprenante rencontre qu’elle effectua dans le val d’Anduin lui donna rapidement une raison supplémentaire d’apprécier ses voyages.
Un jour, alors qu’elle venait de sortir de la Forêt Noire, elle trouva un louveteau blessé à la patte. Au lieu de le tuer ou de l’ignorer, comme l’auraient fait la plupart des gens, elle entreprit de le soigner en lui confectionnant une attelle. Entendant du bruit derrière elle alors qu’elle s’occupait du louveteau, elle se retourna et réalisa qu’elle était observée par un ours gigantesque. Pensant qu’il allait les attaquer, elle et le louveteau, elle attrapa son petit protégé sous le bras et tenta de prendre la fuite mais, dans sa précipitation, elle trébucha et tomba dans un petit ravin. Blessée à la jambe et incapable d’attraper ses armes qui étaient tombées trop loin d’elle, elle n’eut d’autre choix que de regarder l’ours descendre vers elle sans rien pouvoir faire. Mais, à sa grande surprise, au lieu de la dévorer, l’ours se transforma en un homme, Beorn. Celui-ci emmena la jeune femme chez lui et l’hébergea le temps qu’elle se remette de ses blessures. Solveig demeura ainsi plusieurs jours chez Beorn et, découvrant qui il était, ainsi que la triste histoire de son peuple, se lia d’amitié avec lui. Désormais, à chaque voyage qu’elle effectuait entre Esgaroth et le val d’Anduin, elle s’arrêtait chez Beorn et, le temps passant, son affection et son attirance pour le changeur de peau augmentaient. Elle admirait et respectait sa force et reconnaissait en lui la même rancune et le même désir de revanche qui l’habitaient.
Côtoyer ainsi quelqu’un qui, comme elle, ne rêvait que de vengeance renforça son propre désir de revanche. Elle se mit de plus en plus à rêver à la gloire passée de Dale et à tourner ses regards vers la désolation de Smaug. Elle finit par aventurer ses pas jusqu’aux ruines de Dale et aux pieds de la Montagne Solitaire, ce que n’osaient jamais les habitants d’Esgaroth, de peur de réveiller le dragon. Elle commença également à parler à Barde de ses rêves, pour le plus grand déplaisir de ce dernier. Barde craignait en effet de réveiller la fureur du dragon et désirait juste vivre en paix. Il s’inquiétait des projets de sa sœur, considérant que leur vie était assez compliquée comme ça pour rajouter une nouvelle menace. Voyant qu’elle ne trouverait pas de soutien auprès de son frère, Solveig ne lui parla plus de ses rêves. Plus le temps passait, plus elle tournait en cage, désirant de plus en plus restaurer la Dale d’antan, mais ne sachant comment s’y prendre seule. Elle s’imaginait pénétrer à l’intérieur de la Montagne pour tuer le dragon mais ne savait comment y parvenir, tous les accès au Royaume sous la Montagne étant clos. Ce fut lors de l’un de ses voyages dans le val d’Anduin que vint finalement la réponse qu’elle attendait, quand, alors qu’elle se rendait chez Beorn, elle eut la surprise de trouver chez son ami une étrange compagnie composée de quinze nains, d’un magicien et d’un hobbit.

Très endurante, aussi bien sur le plan mental que sur le plan physique, Solveig s’est forgée un fort tempérament. Elle n’abandonne jamais quelque chose qu’elle a entrepris. Très volontaire, elle sait ce qu’elle veut. Elle n’accepte pas d’être rabaissée et humiliée et elle a su se créer une place dans un univers dominé par les hommes. Elle est en effet appréciée pour son sérieux et sa générosité, et respectée pour son courage et son adresse au maniement des armes. Toutefois, en dépit de cette popularité auprès de ses concitoyens, peu de personnes peuvent se targuer de vraiment la connaître.
En effet, profondément marquée et déçue par les critiques qui ont toujours entouré sa famille, elle conserve une certaine distance avec son entourage et, si elle est toujours prête à aider son prochain, elle ne s’ouvre que rarement à ceux qui ne font pas partie de sa famille. C’est une femme plutôt solitaire qui n’a que très peu d’amis. De plus, la tyrannie exercée par le Maître et ses affidés sur Esgaroth l’ont rendue plutôt cynique et pessimiste quant à la nature humaine. La surveillance constante dont elle fait l’objet a également développé sa méfiance et la jeune femme agit toujours avec beaucoup de prudence. Détestant les façons de faire du Maître, elle est très touchée par l’injustice et à la pauvreté.
Calme, sérieuse et appliquée à la tâche, Solveig ne ménage pas ses efforts quand il s’agit de son travail. Elle n’a eu que peu d’occasions dans sa vie de se réjouir et les différentes épreuves qu’elle a traversées lui ont donné un côté austère et sévère. Il lui arrive de sourire et rire de temps en temps, mais ses instants de joie ne sont jamais francs et sont, au contraire, toujours emprunts d’un voile de tristesse et d’amertume.
Par ailleurs, Solveig est extrêmement sensible vis-à-vis de l’histoire de sa famille. Elle est très fière de ses ancêtres, notamment de Girion dont elle admire le courage pour avoir tenté d’affronter le dragon jusqu’au sacrifice suprême et elle ne supporte pas de l’entendre critiquer. Si elle sait garder son sang-froid, elle peut en revanche facilement s’exalter et s’emporter dès qu’il s’agit de Dale et de sa famille. Profondément dévouée à son frère et aux enfants de ce dernier, elle est prête à tout pour eux et les fait passer avant son bonheur personnel. C’est pour eux et pour la mémoire de ses ancêtres qu’elle rêve de reconstruire Dale. Elle voudrait en effet voir Barde, Baïn, Sigrid et Tilda occuper le rang qui leur ait dû, au lieu de se débattre dans la misère et elle aimerait que sa famille retrouve sa gloire passée, au lieu d’être sans arrêt moquée. Sa lutte pour sa famille et le souvenir de Dale est devenue l’un des piliers de sa vie et l’un des moteurs de sa force. Elle s’y est dédiée corps et âme et refuse d’agir pour elle-même tant qu’elle n’aura pas mené son projet à bien.
Cela ne l’empêche pas d’avoir des aspirations personnelles et de rêver à une époque où Barde serait devenu le roi d’une nouvelle Dale, ce qui lui permettrait de se laisser aller et de connaître le vrai bonheur. Elle aimerait expérimenter une vie plus simple, plus confortable, dans laquelle elle n’aurait pas à s’inquiéter sans arrêt pour les siens et où elle ne devrait pas lutter en permanence pour trouver son gagne-pain. Elle voudrait pouvoir s’amuser et s’intéresser à des choses plus futiles. Elle rêve surtout de pouvoir un jour s’installer avec l’homme qu’elle aime et fonder une famille avec lui mais il lui arrive souvent de douter pouvoir un jour y parvenir.

Solveig entretient une très grande complicité avec Barde. Tous deux ont grandi ensemble, travaillant souvent côte à côte et se soutenant l’un l’autre dans les différentes épreuves qu’ils ont traversées. Très protecteur envers sa sœur, Barde voudrait la persuader de penser un peu plus à elle-même et a tenté à plus d’une reprise d’apaiser son sentiment de culpabilité vis-à-vis de leurs parents, en vain. Tous deux partagent le même sentiment d’amertume mais n’ont pas la même façon de voir les choses, Barde voulant juste vivre en paix là où Solveig ne rêve que de revanche et de justice. Bien qu’il comprenne en partie les motivations de sa sœur, Barde désapprouve totalement l’idée d’affronter le dragon et il s’inquiète beaucoup de ce que Solveig pourrait tenter. De son côté, la jeune femme respecte et admire beaucoup son frère pour sa force d’esprit et sa générosité et elle pense qu’il ferait un roi idéal pour une Dale restaurée. A défaut de pouvoir le convaincre de rejoindre sa façon de penser, elle espère pouvoir le mettre au pied du mur et le pousser ainsi à prendre sa destinée en main. C’est en partie pour cette raison qu’elle le soutient quand il aide ses concitoyens contre les lois du Maître : elle compte ainsi le poser comme un bon dirigeant face aux exactions du Maître.
La jeune femme adore également ses neveux et nièces, Baïn, Sigrid et Tilda. Vivant avec son frère et sa famille, elle les a vus naître et grandir et, depuis que leur mère est morte, elle essaye tant bien que mal de jouer le rôle de la mère pour eux, en dépit de ses absences régulières. Quand elle se trouve à Esgaroth, elle passe beaucoup de temps avec eux et ils sont les rares personnes à pouvoir lui arracher de vrais et francs sourires. Par ailleurs, elle leur parle beaucoup de la gloire passée de Dale et de la lutte héroïque de Girion contre le dragon, entretenant auprès d’eux le souvenir et la fierté de leur famille.
En dehors de sa famille, la personne qui compte le plus pour Solveig est incontestablement Beorn. Elle s’est rapidement attachée à lui, éprouvant un mélange de respect, d’admiration et de compassion pour lui. Il ne lui a pas fallu longtemps pour comprendre qu’elle l’aimait. Toutefois, elle ne lui en a jamais parlé. Elle sait pourtant que le changeur de peau lui porte un profond respect et celui-ci lui a déjà laissé sous-entendre que ses sentiments pour elle allaient au-delà de l’amitié. Mais, conformément à sa promesse de faire passer à sa famille avant elle, Solveig ne peut quitter Esgaroth et les siens pour vivre avec Beorn tant que Barde et ses enfants seront dans le besoin. Pour elle, une vie commune avec Beorn est un rêve presque inaccessible qu’elle ne pourra atteindre qu’après la mort du dragon et la reconstruction de Dale. Elle sait que Beorn ne lui en parle jamais parce qu’il connait sa position sur le sujet et elle lui est reconnaissante de respecter sa volonté.
Malgré sa méfiance pour les inconnus, Solveig va très rapidement s’attacher à Thorïn et à ses compagnons. Leur quête représente en effet ce à quoi elle a toujours aspiré et elle retrouve en Thorïn le même sentiment d’amertume et le même désir de revanche qui l’habitent. Elle va tout faire pour leur venir en aide. Au sein de la compagnie, elle va plus particulièrement s’attacher à Heidi et Veigi, celles-ci étant les seules femmes du groupe. Elle développe également un intérêt particulier pour Bilbo, celui-ci étant le premier hobbit que la jeune femme rencontre.

Solveig est une femme forte, endurante et adroite sur le plan physique. Elle est très à l’aise, aussi bien en ville, que sur l’eau ou en pleine nature. Habituée à survivre seule dans des milieux hostiles, elle sait comment trouver à manger, se repérer, se soigner elle-même ou passer inaperçue. Très proche de la nature, elle aime beaucoup les animaux et possède d’ailleurs deux chiens qu’elle a trouvés abandonnés et qu’elle a élevés elle-même : un gros chien (type bouvier bernois) baptisé Tonnerre et un chien plus petit (type border collie) appelé Eclair. Elle se sent beaucoup mieux au milieu de la nature et des animaux qu’entourée par d’autres hommes. Adorant les animaux, elle est toujours prête à les soigner et elle sait très bien comment s’entendre avec les bêtes sauvages et les apprivoiser.
Très habile au maniement des armes, Solveig en possède plusieurs, toutes adaptées à la survie en pleine nature, à savoir légères, maniables et pas trop encombrantes : une épée courte, deux couteaux de chasse, un poignard caché dans sa manche, un arc et des flèches et 3 javelots.

Solveig rencontre la compagnie de Thorïn chez Beorn. Elle est immédiatement intéressée par eux quand elle apprend l’identité de Thorïn et le but de leur quête. Toutefois, elle ne révèle pas sa propre ascendance, ne sachant comment aborder Thorïn. Désirant aider les nains mais ne pouvant les accompagner, devant d’abord convoyer ses marchandises à bon port, elle leur donne des indications aussi précises que possibles sur les moyens de traverser la Forêt Noire, tout en sachant bien que, malheureusement, elles leur seront sans doute de peu d’utilité, la forêt changeant en permanence.
Après avoir apporté ses marchandises à bon port, elle retourne chez Beorn et lui confie son intention de retrouver les nains et de se joindre à eux pour leur apporter son aide. Elle rentre ensuite à Esgaroth, sachant qu’elle a de fortes chances de retrouver la compagnie de Thorïn là-bas puisque la ville est sur leur chemin. Elle retrouve justement les nains chez son frère. Elle explique à ce dernier qu’elle connait déjà leurs invités mais se garde bien de lui révéler leur but et leur identité, sachant pertinemment que, si Barde l’apprend, il refusera de les soutenir. Dès que son frère a le dos tourné, la jeune femme s’empresse d’indiquer aux nains l’emplacement de la garnison d’Esgaroth, pour qu’ils puissent aller y chercher des armes. Elle leur explique également les différents tours de garde des soldats et, finalement, les accompagne jusqu’à la garnison pour faire des rondes autour, afin de les prévenir en cas de danger. Elle ne peut toutefois empêcher leur arrestation par les gardes de la ville.
Le lendemain, elle assiste au départ des nains, bien décidée à les suivre, mais ne pouvant le faire sous les yeux du Maître, sachant que celui-ci l’en empêcherait, se méfiant trop d’elle. Elle attend donc que Thorïn et les siens soient suffisamment éloignés pour se préparer au départ à son tour. Elle a une longue explication avec Barde qui tente de la dissuader de les rejoindre mais rien ne peut ébranler sa décision. Elle rejoint les nains alors qu’ils ont atteint les ruines de Dale et réussit à les persuader de l’emmener avec eux, leur faisant comprendre qu’elle partage le même sentiment de colère et la même volonté de revanche qu’eux et qu’elle est tout aussi décidée qu’eux à reconquérir son royaume. Elle assiste donc les nains dans leur recherche de la porte cachée, puis dans leur combat contre le dragon.

On reprendrait bien celui-ci aussi, non ? ^^

pourquoi pas?^^
du coup, on le reprend là où on avait arrêté ou on essaye d'avancer un peu plus loin?

Comme tu préfères ^^

mmmmmm (intense réflexion)
on peut toujours reprendre quand la compagnie quitte la Comté, ça devrait permettre d'avancer un peu plus et de mettre un peu d'action^^

D'accord mais je te laisse prendre la direction de l'histoire parce que je m'en souviens super mal parce que j'ai un gruyère à la place du cerveau :3

oh ben, en soi, il ne se passe pas énormément de choses au début
il y a juste l'épisode avec les trolls et puis la poursuite par les orques juste avant l'arrivée à Fondcombe
et du coup, on peut peut-être commencer directement à l'épisode avec les trolls pour mettre un peu d'action??

Je te suis, c'est vrai que c'est pas une mauvaise idée ^^
On fait nos boulets qui ont pas maté les chevaux ou on faisait pas la garde ? XD

on peut faire un truc du genre^^

mode Faeria
pffff, j'en ai marre de garder ces poneys
de toute façon, ils sont attachés, ils vont pas partir tous seuls!!

Mode Hestia
c'est bien vrai!!
Je vais nous chercher à manger?

mode Faeria
bonne idée, ça fera passer le temps^^
....
en fait, je vais venir avec toi, c'est pas grave si on s'absente un peu^^

Mode Hestia
Non, les mecs se débrouilleront bien ^^
(à Fili et Kili) hein les mecs?

mode Fili
ben, on se disait qu'on viendrait bien avec vous!!
après tout, on a faim, nous aussi!!

Mode Hestia
D'accord, comme vous voulez ^^

mode Faeria
il doit bien y avoir des lapins à chasser dans le coin!

Mode Hestia
oui !
Ah ! J'ai vu des feuilles bouger par là !

mode Faeria
s'approche de l'endroit en question avec des précautions de ninja pour finalement se casser la figure sur une branche d'arbre

Mode Hestia
Ah, zut!! Il s'est enfui!!

mode Faeria
désolée^^ je crois que c'est de ma faute^^